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Peter Jackson – Critique Créatures Célestes : Fifty’Enfance De 50’Fine Art

Peter Jackson – Critique Créatures Célestes : Fifty’Enfance De 50’Fine Art
Peter Jackson – Critique Créatures Célestes : Fifty’Enfance De 50’Fine Art

Créatures célestes voit 50’incursion de Peter Jackson dans le drame après trois brillants long-métrages fortement dosés en hémoglobine. Retour sur la carrière du réalisateur néo-zélandais à l’occasion de la ressortie en version restaurée de ses quatre premiers films.





Créatures célestes renoue avec la douceur des années fifty après avoir servi d’écrin pour son chef d’oeuvre de zombies Braindead. Peter Jackson, malgré le changement radical de genre opéré entre ses deux films, entend cependant toujours dynamiter cette époque trop prude en sec’intéressant à 50’histoire vraie d’un fait divers réellement survenu en Nouvelle-Zélande en 1954 . Deux adolescentes liées par une amitié passionnée avaient tué la mère de l’une d’entre elles qui voulait leur interdire de se voir. Son quatrième long-métrage fut auréolé d’un succès critique et fifty’adoubement de festivals autre que ceux dédiés au films de genre avec le prestigieux Lion d’Argent obtenu à la Mostra de Venise, en addition de la révélation de Kate Winslet, alors hope à une grande carrière.





Peter Jackson - Critique Créatures célestes : L'enfance de l'art
© Miramax Films




Le carcan des années 50 permettait ainsi à Braindead d’éclater bien plus que les convenances imposées par le celluloid de genre, dont Peter Jackson avait su brillamment sec’emparer et même complètement exploser. Créatures célestes poursuit ainsi la même voie, motorcar le metteur en scène choisit, au delà de tout jugement moral, de suivre ces deux protagonistes dont l’amitié ne respectait alors aucune norme. Une amitié au-delà des règles qui permet à ses deux personnages de s’enfuir, loin d’une époque hypocrite, et de magnifier le quotidien dans des visions aussi poétiques que travaillées, confirmant ainsi 50’amour de Peter Jackson pour un cinéma toujours aussi référencé.





La tragédie du créateur





Émaillant son celluloid de visions propres à fifty’héroic-fantasy, avec fifty’amour du bricolage vu dans ses trois précédents longs-métrages, ornées d’une quantité de sang cette fois moins impressionnante, le metteur en scène se permet même d’y inclure ni plus ni moins qu’Orson Welles. Sauf que Créatures célestes est cette fois-ci une déclaration d’amour non pas au cinéma mais aux rêveurs, aux créateurs et aux artistes dont fifty’fine art incarne bien addition qu’une distraction, étant un véritable échappatoire à une réalité bien trop terne.





Ces deux personnages, véritablement habités par Melanie Lynskey et Kate Winslet, ne sont ainsi ni addition ni moins que des femmes en avance sur leur temps dont la création est le seul refuge d’une époque rejetant leur imagination débordante, n’y voyant qu’une pathologie répréhensible, vision hypocrite et réductrice d’une époque malade. Leurs rêves étant leur seule raison d’exister ensembles, ils prendront alors vie dans le sang d’un quotidien morne qui les séparera à tout jamais.





Créatures célestes est alors bien addition que fifty’incursion référencée d’un cinéaste surdoué dans un autre genre très codifié. Il paraît alors comme une tragédie du créateur, qui à défaut de ne pouvoir transformer le monde dans lequel il vit, s’y résoudra avec désespérance dans le sang, seule encre indélébile qui réécrit instantanément un quotidien dont on ne peut s’échapper. Aussi young man que déchirant, Peter Jackson ajoute une autre créature céleste à sa filmographie.





Créatures célestes est disponible en DVD avant une ressortie en 4k sans appointment annoncée pour le instant.





Critique écrite par Kantain.








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